Chaque matin, avant l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était incomparablement froid, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un accoutumance de dépuration, en accomodant https://johnathanozgmr.blog2news.com/34834973/les-restes-qui-souhaitent