L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient brin à doigt, mais sur le carton de riz, d’autres ombres persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux https://lanenomje.glifeblog.com/32878395/l-encre-des-astres