Le manoir se dressait, condamnant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une constitution de verre et métallisé résistait encore au ères : une serre oubliée, ignorée en arrière un mur de végétation sauvage. https://gregoryrcjps.madmouseblog.com/14257999/le-jardin-des-obscurités-statiques